samedi 29 septembre 2007

Le théâtre du châtelet, a place to be...



Tout a commencé avec THE event « Monkey : A Journey to the West » un opéra chinois à mis chemin entre conte fantastique et performance acrobatique, au début je m’y suis intéressé because of Damon Albarn le génialissime compositeur des groupes Blur, Gorillaz et plus récemment The Good The Bad and The Queen, qui signe la musique de cette opéra-pop à la croisé des cultures. Puis en y regardant de plus prêt j’ai découvert le mythe du singe roi, un des plus grand classique de la littérature chinoise. L’histoire est absolument magnifique et pleine de poésie, j’y ai même découvert certaine ressemblance avec un autre mythe que je connais bien mais chut ! Cela fera l’objet d’un post ultérieur.




Puis je me suis dit que ça me permettra de découvrir le théâtre du châtelet et que je n’y remettrai sûrement jamais les pieds. Mais, aujourd’hui j’ai reçu le programme du théâtre de septembre à décembre. En l’ouvrant bien sûr je suis tombé nez à nez avec l’annonce de « Monkey : A journey to the West » qui est décidément l’événement de cette rentrée et avant de le balancer je me suis dit que quand même j’allais lire le reste. En parcourant rapidement le programme des yeux mon regard s’est arrêté sur la première annonce de la section concerts :

Orchestre national de France
Le Seigneur des Anneaux
Direction, Howard Shore
Maîtrise de Radio France
Choeur d’enfants Sotto Voce
Scott Alan Prouty, direction

Direction, Howard Shore….HOWARD SHORE O_O!! HOWARD SHORE à paris qui dirige l’orchestre national de France, qui jouera la musique du seigneur des Anneaux !!! Whouaaaa, donc c’est ça en faite, dieu existe bien, puisque d’habitude ce genre d’événement me passe sous le nez et je suis généralement (au mieux) jamais au courant (au pire) au courant le lendemain quand la presse en fait l’éloge -_-… Mais là j’ai un programme que je n’ais pas demandé, qui me tombe dans les mains et j’ai eu la présence d’esprit de le lire en entier surtout! Parce que ce genre d’événement c’est trop beau pour être vrai, jamais de ma vie je n’aurais imaginé Howard Shore en personne dirigeant l’orchestre national de France. Haaaa je croit que je vais faire très attention à ce que le théâtre du châtelet va programmer maintenant, parce que deux événements de cette ampleur à juste un mois d’écart ce n’est pas seulement le fruit du hasard, c’est la Providence !^^



Lord Of The Rings main theme- Howard Shore

vendredi 28 septembre 2007

Oyez oyez, gentes dames et doux sires, venez festoyer au moyen-age.

Cette semaine pas de revue cinéma pour cause de révision intensif, mais à la place une revue DayVayDay !



Le dernier livre de kaamelott (livre 4) est enfin disponible chez tous les bons revendeurs depuis le 26 octobre. Je me suis donc procuré le graal et m‘en vais vous le disséquer pour votre plus grand bonheur.
Tout d’abords le format n’a pas changé, le coffret trois DVD contient toujours deux disques de 50 épisodes chacun et un disque de bonus.

Le dvd bonus :

Alors il faut bien l’avouer le dvd bonus est maigre en bonus. Pour tous bonus nous avons droit au bêtisier (franchement inutile), à la bande annonce du livre 5 (qui passe déjà à la télé donc inutile) et quand même un super documentaire vraiment intéressant (ouf !)
« Au sources de kaamelott acte III : L’Art de la guerre » qui s’inscrit dans la continuité des deux précédente édition en ajoutant quand même plus de contenue de type making off au documentaire historique.
On y apprend, par exemple, que Stéphane Margot (alias Calogrenant roi d’écosse) est aussi conseillé technique cascades de la série et que Christian Bujeau (maître d’armes dans la série) et aussi maître d’armes dans la vie et qu’il pratique cela depuis une trentaine d’années !
Même si j’espéré un vrai making off de la série et pas quelque anecdotes par ci par là, dans ce livre il n’y en a toujours pas, je suis donc quand même déçu.
Comme vous l’aurait comprit, après "l’acte I : Les mœurs et les femmes" et "l’acte II : La magie et L’église", cette acte III s’occupe de faire la part des choses entre mythe et réalité d’un point de vue historique sur ce que pouvait bien être l’art de la guerre à l’époque de « l’Arthur historique » (si tentait qu’il y est eu un Arthur historique) que l’on place entre le Vème et VIème siècle.
Comme dans les précédentes éditions Christophe Chabert interroge un grand panel de personne, des spécialistes de la question (maître de conférence en archéologie médiévale) aux badauds interpellé dans la rue pour avoir une idée de ce qu’Arthur évoque dans l’imaginaire collectif.
Cette démarche permet de mieux comprendre comment Alexandre Astier inscrit sa série à la fois dans la vérité historique et dans la légende que tout le monde connaît pour justement tordre le cou aux idées reçus (ce qui n’est vraiment pas une chose facile).


La série :

Le livre 4 poursuit l’intrigue du livre 3 en utilisant comme toile de fond la fracture entre lancelot et l’autorité de Camelot, de fait ce livre se concentre principalement sur Arthur et Lancelot. Cette trahison de Lancelot envers le roi Arthur marque le début du déclin de l’ordre des chevaliers de la table ronde. Dans sa trahison Lancelot va entraîner le duc Galessin d'Orcanie qui quitte donc la table ronde pour rallier le camp de Lancelot et la reine Guenièvre que Lancelot enlève par amour, de plus Perceval et Karadoc qui croulent sous des dettes phénoménales (3967 pièces d’or) sont contraints de travailler à la taverne pour éponger leurs dettes, quittant par la même occasion la table ronde. Après le départ de Guenièvre Arthur va prendre pour épouse la femme de Karadoc dame Mévanwi, dont il était secrètement amoureux, au moyen d’une ancienne loi du pays de Vannes d’où est originaire Karadoc. Le scindement de l’ordre ainsi que cet échange d’épouses va mettre en colère les dieux qui ne tarde pas a répliqué en faisant descendre la dame du lac sur le plan terrestre, en envoyant un étrange messager au chevalier lancelot et la fée morgane porteuse de sombre présages à la rencontre d’Arthur.

« Siècle des larmes, hurlement / Au jour Dieu roi de Logres fait affront / Du Lac combattant frère à l'épée / Femme de Vannes épousée commet faute / Panique, ruine, fin d'un monde / Sur Terre sans démon ni sorcière / Vient Dieu des Morts solitaire des frayeur / Du ciel à l'insulte la réponse. ».

Mis devant le fait accomplit Arthur n’auras pas d’autre choix que de renoncer à sa nouvelle épouse et de récupérer Guenièvre pour tentait de rétablir les tords qu’il a pu faire. Mais malgré le succès de son raide éclaire pour récupérer son épouse et le retour du Duc d’Orcanie à la table ronde, qui est bien content de ne pas avoir d’honneur parce que autrement il serait dans la merde, L’ordre ne pourra pas être sauvé.
Perceval le candide au cœur pur, qui dans la légende trouve le graal, commence à évoluer dans ce livre 4, Arthur salue ses progrès et leur amitié se renforce, ce qui motive Perceval à surmonter ses difficultés et menai à bien ses quêtes.

Vidéo extrait du livre 2, vous m'excuserez mais j'ai rien trouvé d'autre ^^.

mardi 25 septembre 2007

Get graduated or try dying

Ayéééé j’ai enfin compris ce qu’y clochait avec mes études. Depuis quelque temps je veux écrire un article sur mes études, mais le problème c’est qu’à chaque fois que j’écris, le texte part dans un tourbillon mélancolique qui vire rapidement au désespoir. Pourtant j’adore ce que je fais et c’est là le problème, je n’arrive pas à comprendre pourquoi j’écris sur un ton désespéré à propos d’un sujet que j’adore. J’ai donc réfléchis à ma situation puisque visiblement je ne suis pas conscient du problème et que ce dernier doit être sûrement un truc refoulé ou que sais-je.

Acte 1 : trouver sa voie.

Les années collège sont celle qui nous servent à choisir notre voie. Mais comme à peut près 80% des élèves en dernière année de collège je n’avais alors aucune idée de ce que je voulais faire. J’errais à la cité des sciences dans l’espoir de recevoir l’illumination, je me lançais dans la lecture de romans plus ou moins intéressant et j’arpentais les musées en quête d’inspiration, mais rien.
Puis vint le jour où ce livre à atterrit dans mes mains :



Ce fût un vrai déclique, j’avais beau ne comprendre qu’une page sur dix (c’est quand même un livre assez bourrin pour un élève de troisième), j’avais enfin trouvé ma voie, je voulais étudier l’intelligence artificielle, la robotique, les systèmes neuronaux et tutti quanti.
En plus c’était raccord avec ma passion pour la sci-fi donc je me suis lancé à corps perdu dans l’électronique.

Seulement voilà, la vie n’est pas simple et ne voyant pas l’ombre d’un cours d’intelligence artificielle se profiler à l’horizon j’ai naturellement jeté mon dévolu sur une autre matière pour continuer à avancer sans me lasser et me donner des objectif à court terme.

Acte 2 : La physique appliquée.

Alors comment vous l’expliquer simplement…Au début la physique c’est comme une femme, on n’y comprend rien et c’est ça qui fait son charme. Puis on apprend à la connaître, ses qualités, ses défauts qui deviennent avec le temps des qualités et vice versa. Finalement quand on croit maîtriser son sujet on se rend compte qu’il y a tellement plus à connaître et on se retrouve comme au premier jour. Je peux affirmer sans me tromper que depuis que j’étudie l’électronique c’est la physique qui m’a le plus fasciné et plus j’avance plus ça empire, si bien que je me retrouve aujourd’hui à suivre une licence d’électronique option physique et que j’ambitionne de m’engager dans un master nanotechnologie à forte dominante physique.

Malheureusement ce que rêve un enfant il le rêve pour longtemps et mon rêve d’étudier l’intelligence artificielle est resté enfoui pendant tout ce temps, bien au chaud, n’attendant que le bon moment pour ressurgir. Il y a quelque jours alors que je discutais avec un de mes amis de master il m’a avoué que l’année commençait sévère avec des cours sur les systèmes neuronaux… Ses paroles ce sont insinuées jusqu’à l’endroit où mon rêve dormait sagement et l’on fait littéralement exploser sans que je m’en rende compte. Du coup mon option physique et mon master nanotechnologie sont devenus beaucoup mois évident à présent, puisque le « problème »c’est que la fac me permet de faire soit l’un soit l’autre mais pas les deux à la fois. Donc voilà la problématique dont je n’avais pas conscience et qui maintenant est évidente, je dois faire un choix entre robotique et physique. Seulement pour moi il s’agit d’un véritable choix cornélien pour l’instant car je ne m’imagine pas abandonner l’un pour l’autre, c’est tout simplement inconcevable. J’ai un ans pour trancher, j’espère que d’ici là tout sera plus claire.

dimanche 23 septembre 2007

Le football américain pour les nuls. 2

1°) L'histoire du football américain. (partie 2)



Apres l’arrivé des colons britannique en Amérique le football va quasiment disparaître. En cause : l’environnement particulièrement hostile au quel doivent faire face les nouveaux arrivants. Entre les réels affrontements armés et le défrichage des terres on comprend facilement que l’énergie des colons soit utilisée à d’autres fins que le loisir et le jeu. Seules quelques rencontres désorganisées et sporadiques, entre villageois d’origine anglaise ou écossaise, peuvent être citées avant le début du XIXème siècle. Puis le système éducatif va faire ressusciter le football. Reprenant le système anglais les universités vont perpétrer la tradition anglo-saxonne ( the kicking tradition). Les règles sont là encore un peut flou mais néanmoins les coups de pied sont prépondérants (la main est utilisée plus pour stopper la balle que pour la transporter ou la propulser) et ne sont qu’à usage interne au établissements, étant donner qu’aucune rencontre inter-collégiale n’a lieu chaque établissement fixe sa propre réglementation. Très durs, ils sont plus l’occasion d’affrontements entre les diverses promotions, ou même de brimades collectives organisées (bizutages), qu’un élément moteur du processus éducatif comme c’est le cas dans le système anglais. C’est ainsi qu’ils vont être interdits plusieurs fois aussi bien à Harvard qu’à Yale.

La première rencontre entre deux grandes universités aura lieu en 1869 entre Rutgers et Princeton, Rutgers reçoit la rencontre, ils imposent donc leur réglementation qui est alors proche du football gaélique que l’on joue aujourd’hui (la balle est propulsée à coups de pied aussi bien qu’à coups de poing vers le but dans le quel il faut la faire entrer). Rutgers s’impose 6-4 à l’issu de cette rencontre. Quelque temps après c’est à Princeton d’accueillir la rencontre et d’imposer ses règles qui sont plus proche du soccer joué de nos jours. Princeton gagne la rencontre 8-0. Apres ce deuxième match la direction des écoles décide d’arrêter les rencontres, mais de ces deux matchs est naît une puissante tradition : celle de ces affrontements footballistique où tout joueur aura la fierté de lutter corps et âme pour l’honneur et le prestige de son école.

L’élan est donné ; mais le grand problème qui va se poser immédiatement est celui de l’unification du style et des règles. Deux styles de jeux dominent à cette époque, le style au pied et le « rugby style », ce dernier existe depuis la légendaire course au cours de laquelle W. Webb Ellis prit le risque de porter la balle, un beau jour de 1823, au collège de Rugby. Le débat fait rage autour de ces deux styles chaque université défend son style et ne veut pas céder. Finalement le mot de la fin reviendra aux universités qui auparavant avaient banni le football de leurs enceintes. Harvard invite Yale à disputer une rencontre selon le style « Rugby ». Yale est conquise tout comme les dirigeants de Princeton qui assiste à la rencontre et en Novembre 1877, Harvard, Yale, Princeton et Columbia U., fondent la Intercollegiate Football Association, qui adopte donc le « Rugby code ». Rapidement plusieurs universités vont rejoindre l’association, chaque année les responsables de chaque équipe se réunissent. Ils vont alors aménager les règles du « Rugby code » dans le souci constant de rendre le jeu tour à tour plus attrayant, plus sûr…Si bien qu’en une dizaine d’années on assiste à l’émergence d’un sport nouveau qui n’a plus rien à voir avec le « Rugby code », partout ailleurs on nommera ce sport football américain.

samedi 22 septembre 2007

Time waits for no one

Alors là je dis: merveilleux.



Je viens de voir "La traverse du temps", un film d’animation du japonais Mamoru Hosoda, adaptation du roman éponyme de Yasutaka Tsusui.



En allant voir ce film je ne m’attendais pas à sortir avec l’impression d’avoir vu le deuxième meilleur film de cette année. Oui, Amer Beton (qui est aussi un film d’animation japonais) évolue dans un monde à part, au dessus de tout, mais j’y reviendrai plus tard. Vu la bande annonce je m’attendais à ce que le sujet soit traité avec plus de légèreté, un genre d’effet papillon à le sauce Disney si vous voulez. Mais pas du tout, la traverser du temps est un film que je qualifierai de multi couche, on peut le voir comme une simple histoire de voyage dans le temps comme on peut descendre dans des considérations plus profondes et apprécier toute la virtuosité du romancier Yasutaka Tsusui. La réalisation est irréprochable, bien rythmé, les différentes techniques d’animation sont finement mélangées et la musique raaaaa la musique !! ^^

Le premier film d’animation qui m’a réellement marqué c’est le roi et l’oiseau de Paul Grimault.



J’ai alors découvert que l’anime pouvait aussi prendre la forme d’histoires fortes et faire jeux égale avec le cinéma classique. Puis fort de cette expérience j’ai découvert l’anime japonaise, la vrai.
Dès le premier film je suis devenu un fan pur et dur du studio Ghibli, qui n'est pas le seul bon studio mais qui a la particularité d'être très constant dans la qualité de ses productions.



Ce qui m’a toujours fasciné dans les films d'animation japonais c’est leurs capacité à mélanger les genres dans un même et unique film. Ainsi il n’est pas rare d’avoir affaire à de l’heoric fantaisy accompagné d’un drame accompagné d’une histoire d’amour accompagné de science fiction etc… et je pense que c’est ça qui fait la force de ces films d’anime, c’est un concentré d’émotion difficile à catégoriser, on y pénètre dès les premières images pour en ressortir sur le générique. Tout y est soigné a commencer par l'histoire, les personnages ont une vrai dimension et le côté poétique est omnipresent. La traversé du temps en est l’exemple parfait.



Le Chef d’œuvre.



Amer Beton ou Tekkon kinkreet dans son titre originale est un film tout simplement sublime. C’est l’histoire de deux orphelins Noir et Blanc que tout oppose, l’un est violent et autoritaire tendis que l’autre est lunatique et innocent. Ils vivent dans la ville fourmilière de treasure town. Ils errent dans les rues n’hésitant pas à racketter indifféremment yakuzas, bandits et religieux. Mais tout va basculer le jour où un puissant yakuza va décider de les éliminer, mais dans un chao grandissant leurs pires ennemis viendront de leurs démons intérieurs. Entre délire psychédélique et fuite vers l’avant, Michael Arias nous livre un bijou de l’animation japonaise…

vendredi 21 septembre 2007

Je vais faire des trucs à deux…

Voilà maintenant plusieurs mois qu’un ami, que je nommerai CPUG, c’est son nom de code pas son vrai nom je vous rassure, m’a proposé de l’accompagner au piano, lui jouant ou plutôt débutant au violoncelle. J’ai accepté volontiers vu que les duos piano violoncelle sont à mon sens les plus beau, surtout chez Rachmaninov !!(Qui est de la musique romantique et non pas classique au passage) ;).



Bon on n’en est pas à jouer du Rachmaninov, mais j’espère que dans le futur ça viendra ! Parce que moi je fais ça dans ce but. Pour l’instant on vise plus contemporain et accessoirement plus facile :p. J’ai proposé Hello du groupe Evanescence.



CPUG étant un métalleux, un vrai, j’ai essayé de trouver un compromis vu qu’au début il m’a lancé sur Crownless de Nightwish.
(Désolé pour la vidéo mais je n’ai pas trouvé mieux…)



Alors que moi je me voyais déjà jouer un répertoire disons… plus romantique en faite, mais bon il faut savoir procéder par étapes et ne pas brusquer les choses. Je vous livre donc dans un élan de générosité les premières notes de ma version de Hello au piano. Je m’excuse d’ors et déjà de l’extrême médiocrité de l’enregistrement mais pour l’instant je ne dispose que du magnétophone de windaube pour m’enregistrer du coup je suis aussi limité à 1min d’enregistrement...




J’ai tenté d’ajouter un pseudo violoncelle à mon enregistrement, qui est en faite un violon jouer en clé de fa, mais on ne va pas faire les difficiles, c’est juste pour se donner une idée du résultat vu que la partition n’est initialement pas prévue pour être joué au violoncelle. Pour l’enregistrement même remarque que précédemment...

jeudi 20 septembre 2007

Le football américain pour les nuls. 1

1°) L'histoire du football américain. (Partie 1)



Les hommes sont joueurs, de tous temps les hommes on joué à des jeux dit de bataille où l’engagement physique permettait de préparer les hommes à la guerre. Dans ces jeux de bataille on retrouve quelque fondamentaux qui permettent de les distinguer des autres sports. Le schéma basique d’une guerre est conservé : deux armées ou deux équipes s’affrontant sur leurs territoires respectifs formant le champ de bataille ou le terrain. A l’extrémité des territoires se trouve la citadelle, la forteresse qui ne doit pas céder, généralement représenté par un édifice, des arbres ou des poteaux. Sur le terrain les équipes porte un ballon ou tout autre objet pouvant servir de projectile que les équipes doivent garder sous contrôle et avec lequel ils ont pour but de conquérir le territoire et la citadelle adverse.

Ce schéma générale ce retrouve quelque soit le lieu et l’époque de l’Haspartum des légions de la Rome antique au Hurling Anglais, en passant par le Tsu-Chu chinois (période de la dynastie des Han), les médiévales Soule Bretonne et Choule Picarde, et le très citadin Calcio de la Florence puis de la Venise renaissantes.
Cependant toute ces variantes n’avait absolument rien en commun dans la façons dont :
La partie se déroulait, le nombreux de participant, la manière de faire évoluer le ballon ou le score. Le seul point commun qu’on leurs connaissent est que leur réglementation était toujours très sommaire et pouvait même varier pour un même jeux.

Les équipes comptaient entre une dizaine et une centaine de joueurs qui s’affrontaient généralement lors de rivalité entre villages ou quartiers et parfois même entre niveaux sociaux (rencontres maîtres-valets). La manière de faire avancer la balle pouvait prendre des formes variées : coups de pied, de poing, de tête, transport pur et simple (rare car surtout dangereux) tout comme les formes de « contact » utilisable contre les adversaires (porteurs du « ballon » ou pas).

Les caractéristiques qui unifient ces jeux sont la violence et leur aspect dangereux, qui leurs vaudront durant l’histoire de nombreuse interdictions de pratique, sans succès d’ailleurs (en Angleterre aux XIVème, XVème et XVIème siècles, en France plusieurs fois au cours de la renaissance).

Cependant au cours de la renaissance la façon de jouer va nettement s’orienter vers le jeux aux pieds, pour inscrire les points, principalement en Angleterre (d’où le nom de « football » adopté pour les jeux de bataille) puisque dans le reste de l’Europe les jeux de bataille vont connaître une récession de leur pratique populaire. C’est encore en Angleterre, dans le cadre des écoles et des collèges que l’on va assister au début de la codification des règles (Les premières règles sont écrites en 1846), alors que les éducateurs anglais, en particulier sous l’influence de Thomas Arnold( clergyman enseignant à l’école de Rugby), les intègrent, comme des éléments très importants , à leurs méthodes pédagogiques.
C’est finalement aussi à cette époque, sous des contours encore évidemment très flous, que le football va traverser l’Atlantique dans les bagages des colons britanniques en route vers l’Amérique…


mardi 18 septembre 2007

Je suis balade complètement baladheuuuu !



Ben voilà maintenant c’est vérifié, courir en short et T-shirt sous la pluie pendant deux heures ça rend malade. Pourtant je n’étais pas tombé malade depuis bien trois ans, je ne suis même pas sûr de reconnaître mon médecin traitant si je le croisai dans la rue demain, c’est pour vous dire ! Mais malgré tout, je me suis réveillé ce matin la tête dans un scaphandre, une vrai horreur, c’est horrible, j’ai l’impression d’évoluer dans une autre dimension. En tous cas je suis bien soigné, ma chère mum m’a prescrit un remède qui devrait suffire à me soigner pour ces dix prochaines années. J’ai une baisse de pêche aussi, je ne sais pas si c’est les médicaments ou la maladie ou les deux à la fois, mais c’est pas croyable comment ça me met le morale en vrac, en plus je suis aller voir 4 mois, 3 semaines, 2 jours (ce qui, au passage, fait exactement 124,0474 jours, merci google, que deviendrait-on sans toi !). Palm d’or oblige, je me devais de le voir même si j’avais prévu initialement de voir Caramel aujourd’hui. Seulement c’était sans compter le débat passionnant du déjeuné avec mes copainng de master « L’art et la manière du cassage de machoîre à la Chaballll et la poésie dans le rugby en générale. » Mais revenons à 4 mois, 3 semaines, 2 jours.



Déjà que j’étais à moitié en train de me morfondre sur mon état de santé, alors là, j’ai été carrément fixé, j’en suis sortie les yeux tous rouges, persuadé que la vie est moche et qu'il ne faut pas faire confiance au gens. Je vous rassure, il mérite tout à fait son statut de palmised mais c’est un drame avec un grand D. J’ai moyennement envie de vous faire une critique complète, vu mon état, j’ai pas vraiment pris le temps d’y réfléchir.

Par contre c'est la première fois que j'allais à une séance avec autant de vieux. Je ne pourrais pas expliquer cette subite explosion de la concentration de sexagénaire, mais ils m’ont bien fait rire. Déjà le retraité ne sait jamais jusqu'à ce que les lumières s’éteignent où il veut s’assoire. Ensuite il ne peut pas s’empêcher de commenter les pubs et les banne-annonces, j’ai même eu peur à un moment qu’ils nous commentent le film ! Mais ce qui m’a fait déclencher un fou rire c’est quand le message : « Certaine scènes ou situations peuvent heurter la sensibilité de certaine personnes » est apparu à l’écran juste avant le film, l’un d’entre eux s’est écrié « A bas non c’est trop tard maintenant !!! » ^^ tranchant avec le silence religieux de la salle prête à la projection.



Cependant dans mon grand malheur une petite lueur d’espoir met apparue, une fois n’est pas coutume, venant de la fac ! Non je ne suis toujours pas inscrit, je n’ai pas parlé de miracle quand même !
J’ai appris aujourd’hui que j’allais être dispensé de TP de langage C !! Yeaahhhouuuu !



Alors je sais que dit de cette manière, ça n’a pas l’air énorme. Mais il faut savoir que les travaux pratique à la fac c’est minimum quatre heures non stop, dans une salle de toute manière trop chaude ou trop froide, en face d’écrans à rendre myope n’importe quel pékin, à travailler sur des sujets que de toute manières on n’y arrive pas vu qu’on est trop con nous les students. En plus l'exam de C ce fait sur feuille en amphi, rien à voir avec l'ordinateur qui nous indique où sont nos erreurs...Je serais aussi dispensé de TP d’électromagnétisme mais vu qu’il y en a qu’un seul durant toute l’année c’est moins une super bonne nouvelle béni des cieux.

Demain je reste au lit!!

samedi 15 septembre 2007

L'avenir en noir et blanc...Enfin, surtout en noir.

Vous avez la pêche? La bonne humeur? Quel dommage ! Car dans 5 minutes ce sera fini...
C’est vrai que des vidéos catastrophes, qui donnent le cafard, ne manquent pas sur l’Internet. Mais celle là est particulièrement relevée en plus le montage et la musique sont soignés.




Bon ben moi je vais me coucher, demain sera un autre jour… Ha non c’est vrai, demain il pleuvra… =)

jeudi 13 septembre 2007

Qui ne veut pas croire aux histoires de trésor?

Aujourd’hui je suis allé voir "King of California". La première fois que j’ai vu l’affiche du film :



J’ai pensé à ça :



Enfin il faut admettre qu’il y a tout de même un air de ressemblance !! Mais rassurez vous, même si le film parle un peut de "fast food" il n’y a aucun lien avec burger king !
A vrai dire c’est même un film que je vous conseil de voir, même si ce n’est pas THE révélation of the siècle comme "Amer Beton" vous passerez un bon moment.

Ce film s’inscrit dans la continuité des films indépendants américain tel que "Little miss sunshine". Ce qui rassure quant à la capacité du cinéma américain à sortir aussi des films intéressants. Drôle et captivant, Charlie, un fou ordinaire (joué par un Micheal Douglas assez convainquant) décide, à la sortie de l’hôpital psychiatrique, de partir à la recherche d’un trésor espagnol enfoui en californie pour donner un sens à sa vie. Il va entraîner dans son délire sa fille (joué par la ravissante Evan Rachel Wood) prisonnière d’une vie sans saveurs, qui tente désespérément de s’en sortir vivant d’un petit boulot au mcdo du coin. Bien que totalement rationnelle et tentant, avec toute la délicatesse dont l'on doit faire preuve pour persuadé son propre père qui sort d’un asile psychiatrique que ce qu’il a entreprit est complètement "fou", elle finira par céder à la tentation de l’aventure. Un film qui traite, avec humour, la difficile question de la barrière entre folie et fantaisie et du rapport père fille parfois difficile. Je regret cependant que le scénario soit un poil plat parfois. Ni extraordinaire ni vraiment mauvais le premier long métrage de Micheal Cahill et une comédie familiale, par laquelle on peut se laisser tenter.

Bande annonce française:



bande annonce originale:



Prochain films sur ma liste :

Le film punk-rock de la rentrée :
"CONTROL". La vie de Ian Curtis.



L’OVNI de la rentrée :
"L’Age des ténèbres". Par le réalisateur de ‘‘Les invasions barbares’’



C’est arrivé près de chez moi :
"Regarde moi". Film tourné dans le quartier où je suis naît, où j’ai grandi et où je vis encore aujourd’hui. Je suis impatient de voir la manière dont a été traité le sujet du film. L’amour en banlieue.

lundi 10 septembre 2007

The Fratellis / Costello music

En ces temps de restriction budgétaire l’acquisition d’un nouveau CD sonne comme paradoxal. Pourtant je ne renonce pas totalement à me faire plaisir de temps en temps, même si j’y réfléchis à 40 fois avant de passer à l’acte maintenant.

The Fratellis, groupe de rock indépendant qui nous vient tout droit de Glasgow, est en train de conquérir ma playlist à petit feu. Il faut dire que ces trois gaillards on des arguments.



Déjà la pochette de leur album et surtout leurs clips « Flathead » et le tubesque « Chelsea Dagger » ne peuvent pas laisser indifférent, le cerveau reptilien, d’un homme normalement câblé.






Mais le titre qui m’a convaincu et qui au passage fait partie ni plus ni moins de la BO de "Hot Fuzz", comédie so british indispensable à votre vidéothèque tout comme "Shaun of the dead" d’ailleurs. C’est « Baby Fratelli », dont voici le clip qui fera d’une pierre deux coups puisque vous avez droit à la bande annonce de Hot Fuzz en prime. Il ne vous reste plus qu’à monter le son et à beugler dans un anglais précaire le refrain pour transmettre votre joie de vivre à vos voisins !!





She said oh my, I don't know why
I was just busy watching everyone go by
Outside the shite bar, and you're a red car
Me and your girlfriend and your sister with the big scar

I said oh Christ, I told you twice
It's just not easy going through all these things thrice
What's this I wonder, you drive a bluebird
You got no money for the petrol, that's what I heard

And it's all right, she'll be sucking fingers all night
Wearing those shoes, oh any excuse to go to the gang fight
And oh she's alright, everybody says she's uptight
Sick in the head, first in the bed
So easy to be Friday's nightmare

I said oh no, oh please just go
You got no eyelids and sweet ella loves me so
She got my number, though I can't stand her
I can't help diggin her a hope I guess I wonder
And oh it's clear, you want me dear
It would be easier if I was never here
You got the money, and I got the reason,
I'll stick around with you for just another season

And it's alright, she'll be sucking fingers all night
Wearing those shoes, oh any excuse to go to the gang fight
And oh she's alright, everybody says she's uptight
Sick in the head, first in the bed
So easy to be Friday's nightmare

She's just getting along,
So don't tell me she's yours
Oh please tell me I'm wrong again
It's all in a daze/day,
So what can you say
Just; sleep in yer shoes
With the winterbox blues
Any time you choose, Oh yeah

She said oh my, I don't know why
I was just busy watching everyone go by
Outside the shite bar, and you're a red car
Me and your girlfriend and your sister with the big scar

She said oh Christ, I told you twice
It's just not easy going through all these things thrice
What's this I wonder, you drive a bluebird
You got no money for the petrol, that's what I heard

And it's alright, she'll be sucking fingers all night
Wearing those shoes, oh any excuse to go to the gang fight
And oh she's alright, everybody says she's uptight
Sick in the head, first in the bed
So easy to be Friday's wonder




Pour finir on va faire redescendre notre rythme cardiaque à la normale avec « Whistle for the choir » qui nous rappelle pourquoi on aime tant le rock made in british...

dimanche 9 septembre 2007

Voyage en Inde

Compteur : 22,81euros

Où vais-je ?

Je vais à GOA ! Alors la région de GOA c’est là :



La région de GOA fût une colonie portugaise jusqu’en 1961 où elle intègre l’Union indienne après l’invasion des troupes de Jawaharlal Nehru. La région s’étend sur une superficie de 3 702 km² (superficie équivalente à celle de l’Irlande) et sa capitale est Panaji où justement je n'irai pas.



Lieu de résidence: "Goa Velha".







Bonus tracks :

Certes la vidéo de thriller version Bollywood des années 80 est déjà un chef d’œuvre dans son genre, d’ailleurs on ne se lasse pas de la revoir :



Mais là j’ai envie de dire, bienvenue dans la quatrième dimension !!

Attention Ce que vous allez voir risque de choquer votre conception du possible-à-voir-dans-un-film.

Je commence par un superman qui se passe de tous commentaires…



On continue avec encore un superman (décidément ça ne leurs réussi pas tellement) mais cette fois dans le rôle du superman on a droit au chaînon manquant entre Elvis et Mario Bros. Je vous laisse déguster…



Maintenant mon préféré, avec les caissiers et caissières de champion en guest star avec leurs petits gilets rouge !



Pour finir je sors du sujet bollywood tout en restant dans la quatrième dimension, parce que je ne pouvais pas vous laisser partir comme ça (et parce que si ce n’est pas maintenant je vois mal où j’arriverai à caser cette vidéo…) Mesdames et messieurs Napoleon Dynamite !

samedi 8 septembre 2007

L’architecture lyonnaise

Voici l’architecture lyonnaise dans toute sa splendeur :



Seul un Lyonnais pour jus peut trouver la foi suffisante pour faire confiance à une porte pareil et passer en dessous ! Quelle témérité !

Bien évidemment je plaisante ^^ le quartier du vieux Lyon est une merveilleux, classé au patrimoine mondiale de l’humanité par l’UNESCO depuis 1998 ou il y fait bon se balader durant les chaude journées d’été. Mais trêve de palabre et place aux images…