mercredi 30 janvier 2008

Are you ready for some football?



Ce texte n’est pas de moi. Je l’ai trouvé (je ne sais plus où et comment d’ailleurs) respirant de vérité, à un tel point que je n’arrive plus, aujourd’hui, à me retenir de vous en faire profiter. Alors oui, ce texte parle de football américain n’en déplaise aux bleus, mais ne partez pas ! Voyez y plutôt une occasion unique, de découvrir d’une manière totalement originale l’essence même d’un sport. J’ai commencé à rassembler un maximum d’information sur le foot en commençant naturellement par un historique en bonne et due forme (disponible sur ce blog dans la rubrique football américain). Je me suis arrêté au passage délicat de l’explication des règles, non par paresse (c’est assez rare pour le mentionner) mais simplement parce que j’ai longtemps réfléchis à la manière la plus fluide et la plus naturelle d’aborder toutes ces règles absolument pas compliquées mais qui demande quand même qu’on s’y penche quelque instants, puisqu’il s’agit n’y plus n’y moins d’une nouvelle façons d’appréhender le jeux collectif. Donc n’ayez aucune inquiétude car tout arrive à point à qui sait attendre v_v. En guise de transition entre l’historique et l’explication des règles je vous propose donc ce très joli texte suivi d’un article sur le SUPERBOWL qui aura lieu très bientôt et qui est, comme vous le savez déjà, la finale du championnat nord américain de football US, ou THE match à ne pas manquer pour tout fan qui se respecte.


"C’était le duel du siècle. « Le choc », c’est comme ça qu’il en parle. Cy avait sept ans à l’époque quand, avec son cousin Charles, ils faufilèrent leurs bas profils, tapis au ras des hautes façades, jusqu’au parvis de la cathédrale - le parking du stade ! A sept ans, la caboche sonne creux le temps de se faire une raison, mais en attendant le cœur bat, le moindre frisson est une leçon, et dans cette fournaise en fusion où naissent et meurent les phénomènes, entre communion, baptême et foire, ce soir, c’est sûr, la coupe sera pleine.

Petite pensée pour le paternel … Tant pis, sans abeilles, pas de miel. Adieu aux larmes ! Au diable les règles ! Le jeu en vaut bien la chandelle, car l’orage qui va éclater rentrera dans les livres d’histoire : mémoires du choc inéluctable d’humains au sommet de leur art, légendes d’élans, de trajectoires entre le marteau et l’enclume, contes d’icônes et de veaux d’or … Chaque poste est un cierge qui s’allume. Autour du temple, des villes immenses se figent et plus rien ne s’agite que le flux tendu des satellites tous branchés sur la même fréquence. Pourtant, dans cet air saturé, au creux des transistors en transe, sur le terrain, dans le huddle, quatre mots planent en silence. Red Bull Forty Four Que les profanes et les curieux m’excusent cette courte digression, mais j’ai pensé que ce patois nécessitait une traduction, parce que n’y voir que des bœufs labourant un champ de patates, revient, dans une flûte à champagne, à siroter un verre d’eau plate. Ce qui serait plus juste, en revanche, pour qui veut vraiment s’y plonger, c’est de mettre ses mains dans la boue, car tout commence dans les tranchées. Costauds devant, costumes derrière, rien n’a jamais vraiment changé. Il y a toujours un pont à prendre, un autre passage à dégager. En l’occurrence, dans notre jeu, Red fixe à droite le côté fort et la percée, dans l’interligne, se fera au trou 44. C’est là que se glissera le ballon, sous l’avant bras rond d’un arrière. Un plongeon dans la fosse au lion … Au bout du tunnel, la lumière ! Et le fameux scaphandrier à boire la tasse du bain de foule, la balle de nerfs, l’armure, le tank, cette boule de bowling, c’est lui, Bull.

Avec Bull, Betty la belle, sa mère, n’avait pas eu de bol. Elle l’a compris dès son tout premier mot : « football ». Elle l’a vu à l’école où, en l’espace d’un instant, il est passé du punching ball à la cour des grands quand, se ruant sur le goûter tant attendu de quatre heures, il aplatit un prof de sport, un proviseur et un directeur. Qu’on aille s’étonner qu’à sept ans il ait été dur à dompter. Il avait l’esquive de sa mère, et de son père le botté, la charpente de cousin Kent, d’Oncle Sam l’appétit, la détente de Daddy Clint et le derrière de Tante Patti. Et puis cette petite idée folle, depuis qu’il s’était mis debout, qu’il n’y aurait plus rien ni personne qui le remettrait à genoux. Ni les gradins brûlants l’été, ni la piste gelée en hiver, pas plus que la barre surchargée, car c’étaient eux ses adversaires. On dit que tout est dans la tête, que l’âme se forge dans l’effort, on te martèle que la douleur n’est que faiblesse qui quitte le corps, que la fatigue n’est qu’un leurre, un autre plaqueur à éviter, que la fainéantise n’est qu’une peur de réussir ce qu’on va tenter, que la pression c’est ce qu’on ressent quand on manque de préparation, que les trois clés du succès sont : répétition, répétition et répétition. On dit tout ça, et tellement plus qu’il ne reste plus de place pour le point de côté. S’il est vrai que c’est dans la tête, sa chance, c’est qu’il sait écouter. Alors un chemin sans embut rit des embûches et devient rails, un caractère d’effort forgé dans la sueur et le travail, dans l’attention au moindre détail qui l’aide à lire entre les lignes. Face aux murs peints de gravité, il saigne, mais il persiste et signe. Il sait chaque jeu et chaque tendance les yeux fermés, en pleine nuit, et là, c’est son tour d’ambiancer.

Red Bull 44, c’est pour lui. Le temps, qui s’était suspendu, reprend sa course de toqué à dix yards de l’embut adverse. Dernière tentative pour marquer. Une vague d’espoir soulève la foule qui se condense et qui bourdonne. Ca crépite dans le transistor et dans le casque, ça résonne. Mais au même moment, en défense, Cotton n’entend rien ni personne. L’arrière central est loin de ça, dans un saint lieu qu’on nomme « la zone ». N’y voyez pas un territoire, mais plutôt cet instant magique où tout nous semble redevenir fluide, naturel, simple, logique. Chaque chose se pose à sa place, chaque courbe qui poursuit sa course et le fleuve n’est plus qu’un, entier, de l’estuaire jusqu’à la source. Rien ne se casse ni ne se déchire, ni la lumière crue ni les cris. Dans l’oeil d’un ouragan d’hormones, Cotton plane en pleine harmonie. Le tight-end rapproché à gauche, le receveur à bonne distance, l’alignement des deux coureurs, le regard que le QB lance, l’immense brèche que crée le vent de montagnes dégageant la foule, et sur cette vague qui pull sur lui, le porteur de balle qui déboule. Puis cette tectonique des plaqueurs qui le remue jusqu’aux entrailles, en glissant que le plus bas gagne, que chaque système a sa faille, qu’il suffit pour boucler la boucle d’y mettre le doigt en guise de point. Tout court, tout passe, puis vient la faux. Tout, jusqu’au sifflet, a une fin. Ca se passe dans le coin opposé où, débarrassé du fretin, l’élan de l’arrière-train de Bull l’entraîne aux 5, aux 3, au 1 … Neuf yards et de la poussière d’étoile, à l’orée de la zone d’embut, le choc frontal de deux convois, comme deux comètes qui se percutent. Chaque muscle tendu, chaque fibre vibre à coeur perdu au creux du bide, là où le corps n’est plus qu’un casque et le talent, une coquille vide. Au fond, où il ne reste plus de place ni pour l’erreur ni le héros, ce n’est pas la taille du chien qui compte, mais c’est la taille de ses crocs. Le claquement sec dans le micro rayonne bien plus qu’il ne résonne. L’onde se propage en une seconde et c’est le monde qui frissonne … Après, peu importe les raisons, qu’elles soient faites d’espoir ou de peur. Des bataillons d’âmes ont surfé sur un unique battement de cœur et, des générations d’ici, quand on évoquera cette époque, on oubliera où tombe la balle, mais on se souviendra du choc."









D’un choc il en sera question le 3 février en plein cœur de Phoenix dans l’Arizona. Le très moderne University Of Phoenix Stadium accueillera le 42ème Superbowl de l’histoire de le National Football League.

Dans cette affrontement historique Les New England Patriots originaires de Foxborough dans le Massachusetts, invaincus cette saison, (Ce qui n’était pas arrivé depuis 1972 avec les dolphins de Miami !)



Recevront les New York Giants originaires eux de East Rutherford dans le New Jersey.



Le SuperBowl est l’événement sportif le plus suivi aux Etats-Unis. Il sera retransmis dans 225 pays dont la France sur France 2 à partir de 0h20 pour la troisième année consécutive. France 4 s’associe également à l’événement en diffusant des reportages autours de la compétition et en retransmettant le match le lendemain matin. Pour les amateurs de spectacle il est de tradition que la mi-temps soit consacrée à un extraordinaire show où cette année Tom Petty et les Heartbreakers viendront jouer devant 75 000 spectateurs.

Tom Petty - Learning To Fly




Alors que dire de ce match à part que parmi les spécialistes on s’accorde à dire que le SuperBowl n’est plus que rarement le meilleur match de la saison. Du fait de l’extrême pression que subissent les joueurs. Généralement le match se joue plus sur les erreurs que sur de véritable exploits personnels. Mais évidemment il est trop tôt pour en juger, surtout que de chaque côté se joue des records.

D’une part la saison parfaite des Patriots ce qui serait quand même historique, ainsi qu’une nouvelle victoire au SuperBowl ce qui porterait à 4 victoires en 7 ans le palmarès des Pats. Tout bonnement incroyable quand on connaît le système de la NFL qui favorise, lors de l’inter saison, les équipes qui ont eu les plus mauvais résultats de la saison et ce qui de la sorte permet de relancer le championnat chaque année de manière qu’il est généralement impossible de prédire en début de saison qui seront les finalistes.

D’un autre côté le record de match remporter à l’extérieur pour les Giants. Même si c’est moins glorieux qu’une saison parfaite, il n’empêche que ça reste un record à prendre. Surtout lors d’un SuperBowl.

Espérons que cette motivation supplémentaire donnera des ailes à chaque équipe pour nous offrir un spectacle magnifique. Je vais aller de mon petit pronostique (sans trop me mouiller) en donnant les Patriots vainqueur de ce SuperBowl, par principe, pour assister à la saison parfaite des Pats et parce que j’aurais voulu voir les Green Bay Packers au SuperBowl et qu’ils ont été battus par les Giants =D. SO LET’S GO PATS !!!!

mardi 22 janvier 2008

Aïe...




Je me suis blessé dimanche dernier en faisant du sport. Un plaquage qui a mal tourné pour ma cheville droite. Je l’ai senti exploser sous le choque. Mon pied a enflé un peut partout jusqu’au bas de la jambe et c’est ce qui est inquiétant selon mon médecin du sport.

Au urgence dimanche soir ils m’ont affirmés que ce n’était qu’une grosse entorse, et qu’une attelle et des anti-douleur seraient suffisant jusqu'à ma prochaine consultation, ce qui a eu le don de ma rassurer. Mais le lendemain mon médecin m’a appeler pour prendre des nouvelles et a semblé surprit du diagnostique. Pour lui, présent lors de l’accident, il ne s’agit pas d’une simple entorse, il craint qu’il y ait un traumatisme plus grave à la cheville.

Ce matin j’ai appris que dimanche soir aux urgences il n’y avait pas de radiologue pour interpréter correctement ma radio donc malheureusement je commence un peut à douter de leur simple entorse. Surtout que depuis dimanche je ne peux pas poser le pied par terre et ce dernier n’a pas l’air de vouloir retrouver une forme normale. Donc pour l’instant je suis dans le flou jusqu'à demain 8h où j’ai rendez-vous avec mon médecin du sport.

Je reste donc chez moi la plus grande partie du temps dans mon lit à lire et écouter de la musique et regardant par la fenêtre. Activité qu’on finit par trouver distrayante avec un peut d’imagination. J’ai passé en revue ma playlist pour trouver la meilleure musique susceptible d’accompagner la lente procession des gros nuages qui défile devant ma fenêtre. Je suis arrivé à la conclusion que les gymnopédies d’Erik Satie constitue une bonne représentation de ce que l’on ressent à rester cloué au lit quand dehors un soleil radieux vous nargue.

Gymnopedie No.3 - Erik Satie



La semaine dernière encore je pouvais sortir et aller courir, mais à plusieurs reprises j’ai fait preuve de paresse et je suis resté chez moi en me disant que j’irais la semaine prochaine pour me défouler. Maintenant j’apprécie toute l’ironie de ma situation et je me rends compte qu’on ne mesure l’importance des choses que quand on en est privé. Ma vie est bien partie en vrille ces derniers temps après une baisse de moral voilà les pépins physique qui s’en mêle. Je crois bien que je touche le fond là. Mais c’est peut être ça qu'il me fallait.

"Plonger au fond du gouffre, Enfer ou Ciel, qu'importe ? Au fond de l'Inconnu pour trouver du nouveau !" (Charles Baudelaire - Les fleurs du mal.)

One Last Breath - Creed

J'aime bien...

lundi 21 janvier 2008

yaaaaaaatttttaaaaaaaaaaa

Pour ceux qui me connaissent. Regardez la photo ci-dessous et devinez ce qui n’est pas cohérent.



Réponse : Il pousse !!!!! Oui vous ne rêvez pas mon cactus surnommé affectueusement « the survivor » est en train de faire une pousse !!!! O_O Dernier d’une long série d’expérience ratée, je le pensais destiné au même sort que ses congénères qui l’ont précédé sous mes soins, mais non. Celui-là a décidé de vivre.

En 2007 j’ai fait mourir à peut prêt une dizaine de plantes des plus diverses. Une dizaine ça ne parait pourtant pas si énorme mais ça fait quand même une par mois. Ce qui constitue à peut prêt le temps moyen de survie d’une plante une fois que j’en ai fait l’acquisition. Du cactus (oui oui c’est possible) à une plantation de lotus en passant par mes dernières victimes en date un semi d’edelweiss (et encore je dis une dizaine mais j’exclus les graines que j’ai planté et que je n’ai jamais vu sortir de terre ^^).

J’ai un don inné pour faire mourir tous ce qui vie et pourtant ce n’est pas faute d’y mettre toute la bonne volonté du monde ! Je fais des recherches, je me documente, je me souvient même être aller jusqu’à passer un après midi à la bibliothèque du muséum d’histoire naturel pour comprendre pourquoi mes lotus été mouru ;_;.

Mais avec ce succès je sens que je viens de franchir un pas. Je deviens enfin un jardinier capable de faire survivre un cactus ! ^^ M’enfin il ne faut pas non plus crier victoire trop vite car : Le poisson qui meurt sur la berge remue plus que celui qui dort au fond de l’eau… Alors j’attends de voir si ce n’est pas l’ultime tentative d’un cactus qui dépérit avant de trop me réjouir…

Savez-vous planter les choux

vendredi 18 janvier 2008

Frappe moi et je saigne.

Moby - It's Raining Again



B.J. Thomas - Raindrop Keep Failling On My Head


Voilà ! Mes exams sont finis, cette semaine j’en avais trois en tout. Deux que j’ai, ma foi, plutôt bien réussi et un que j’ai foiré comme une frappe chirurgicale en Iraq. Donc constat mitigé mais tout cela me passe à des années lumières puisque j’ai pris la décision d’arrêter la fac l’année prochaine pour me lancer dans une école d’ingénieur en alternance.

Cette idée ne met pas tombé dessus comme la misère sur le pauvre monde, non. J’y pense depuis que je suis entré à la fac et j’y pensai même avant d’entrer à la fac. Seulement je voyais mes études comme un monde utopique où le plaisir d’apprendre prévaut face aux considérations matériels présente et voir même futur.

Il est vrai que je prends réellement du plaisir à étudier la physique appliquée à l’électronique mais à côté je suis obligé de me tartiner tout un tas de matière dont j’aurais bien aimer n’avoir jamais entendu parler, dans lesquels je me dois de réussir et pour lesquels j’ai tout le mal du monde à simplement m’asseoir devant un bureau et ouvrir mes cahiers.

Puis j’en suis venue à me plaindre de la pauvreté des travaux pratiques à la fac même si là j’avais été prévenue dés le départ que niveau pratique j’allais pas m’éclater des masses. Je ne pensai pas que ça me manquerai mais au finale si.

Le tout allié a un compte en banque en perpétuel récession qui ne semble pas apte à sortir la tête de l’eau sans un changement radical soit de mes revenus soit de mon mode de vie. J’ai tenté d’infléchir sur le second mais j’en suis arrivé a un point ou je ne plus faire grand chose face à ma maladie de la fièvre acheteuse. Peut-être résilier mon abonnement a l’Universal Glandage Community…. ça hors de question ou, et la c’est encore plus hors de question, résilier ma participation mensuel certes modeste mais néanmoins substantiel à ACF. Non vraiment je me vois mal faire ça. Donc au diable mes rêves ! J’irai en école d’ingénieur l’année prochaine un point c’est tout.

J’ai quand même mis du temps à me décider. Toute une semaine en plein dans mes révisions. Parce que quand j’ai quelque chose dans la tête je ne peux pas juste le mettre de côté et dire bon ça on verra plus tard…Non je suis obligé d’y penser constamment jusqu’à prendre une décision. Alors du coup j’ai eu une semaine très mouvementée emplie de doute et de démolition de la plus part de mes projets actuels, ajoutez a cela des changement d’attitudes de la part de personne que j’estime réellement, qui m’ont donné une vrai claque et qui m’ont affecté plus que je ne l’aurais cru. Je me suis retrouvé mercredi soir, date de la fin de mes exams, dans un état moral déplorable.


Dane Cook: Crying

Depuis j’ai repris du poil de la bête hein ! N’allez surtout pas vous inquiéter ! j’ai une famille et des amis formidable qui m’ont redonné la pêche et puisque je viens de vous mettre une de ses vidéo, que dire du dernier spectacle de Dane Cook au madison square garden : Rough around the edge, un remède à toutes les dépressions du monde !^^

jeudi 10 janvier 2008

C’est une révolte ? Non c’est une révolution !

Voilà j’ai rangé ma chambre. J’ai pris une photo parce que ce sera la seule fois de l’année qu’elle aura cet aspect. C’est fou mais j’ai presque l’impression de ne plus être dans mon petit cocon bordélique si rassurant. ;_;

Avant:



Après:



Bon ce que vous voyez sur la photo c’est mon plan de travaille, pas mon bureau qui est toujours dans un état d’organisation discutable lui. Mais wouho ! Chaque chose en son temps d’abord! Faut pas me brusquer, c’est déjà un sacré choc émotionnel de revoir ma piste d’essai pour robot que j’avais cru définitivement perdu sous mon bordel. Il ne faudrait pas que je me réveille brusquement en plein nuit en me demandant ce que je fous dans une chambre qui n’est pas la mienne !
Bon ben voilà c’était juste pour signaler cet évènement. Ce n’est pas encore mon post sur la nouvelle année même si à première vue ça y ressemblait. Pour celui là vous allez encore devoir patienter un peut, je suis en pleine révisions pour des examens plutôt important…Mais bon tout de même Bonne année à toutes et tous, vous qui passez par ici !! ^^