mercredi 20 février 2008

Recette n°2: Banana Pancakes.



Dans la catégorie recette que si JE peux le faire votre poisson rouge peut le faire. Je vous présente les pancakes à la banane.

Il vous faut :

-250g de farine
-50cl de lait
-3 bananes mûre (voir très mûre)
-3 œufs
-1 cuillère à soupe de levure
-2 pincées de sel
-30g de beurre fondu


Il vous suffit de mettre tout ça dans un blender… Ha oui j’allai oublier, parce que visiblement je suis un geek… En cuisine quand on parle de blender, on ne parle pas de ça :



Allez… Avouez que ça vous est passé par l’esprit. =D

Non en cuisine un blender c’est ça :



Vous n’oublierez pas d’enlever le poisson rouge hein ! Quand je disais que votre poisson rouge peut le faire c’était une métaphore !

1) Mixer le tout.

2) Laisser reposer : 30min

3) Faites chauffer une poêle à crêpes. Verser des petites louches de pâte, dès que les bulles apparaissent, retourner le pancake et laisser le cuire quelques secondes.

Servir tiède, accompagné de sirop d'érable yum-yum !! =p

Banana Pancakes - Jack Johnson

mardi 19 février 2008

Système D.

Je viens tout juste de boucler mon budget pour mon voyage en Inde donc théoriquement je ne devrais pas avoir de problèmes…

Ça c’est que je disais jusqu’à il y a quelque jours avant qu’un week end à London se profile vaguement à l’horizon Aaaaargh. Je vais devoir réduire encore mon budget consacré à mes achats de CD et de livres. Oui de livre aussi, parce qu’il m’arrive d’acheter des livres et même que des fois ça ne parle même pas de physique ou de robotique !! Oui oui ! Il m’arrive de lire autre chose que les travaux de mes « idoles absolus »™©® les Docteurs Kaplan et Oudeyer (ici et ), comme de la littérature par exemple, troublant n’est ce pas…
Si j’ai choisi de parler plus particulièrement des livres c’est pour une bonne raison. J’ai trouvé un moyen très économique pour pallier à cette réduction draconienne de mon budget.
Je puise dans la bibliothèque de mon père, voire même dans ceux qu’il est en train de lire ! Ha ha ! La fin justifie toujours les moyens gniark gniark gniark (rire sardonique).
Bon alors par contre je n'ai pas un choix très vaste, mais au moins ça me permet de découvrir de nouvelles choses que je n’aurais jamais été lire par moi-même.
Comme :

Le vagabond américain en voie de disparition – Jack Kerouac



Ou :

Parlez-moi d’amour – Raymond Carver



Puis alors que je parcourais discrètement la bibliothèque je suis tombé sur ce livre :

L’inquiétante étrangeté – Sigmund Freud



Et là ça a fait Tilt je me suis souvenu d’un passage d’un livre que l’une de mes « idole absolu »™©® a écrit et qui faisait référence à l’inquiétante étrangeté. Dans ce passage le Dr. Kaplan parle de l’époque où il travaillait pour Sony à l’élaboration d’un robot de compagnie qui donnera naissance à la série des AIBO, qu’il n’est plus nécessaire de présenter.

« Alors que je commençais moi-même à travailler sur le projet, je ressentais toujours ce double sentiment face aux progrès du robot : fascination et trouble. Je pouvais regarder la machine pendant des heures, découvrir comment la perception d’un objet pouvait l’«exciter», la voir se lasser après un moment. Contrairement aux machines que j’avais l’habitude de côtoyer, celle-ci commençait à avoir une forme de «présence». C’était probablement cette «présence» qui la rendait troublante à mes yeux. J’ai lu plus tard que Freud avait trouvé un mot pour ce sentiment : il l’appelait l’inquiétante étrangeté (unheimlich). Selon lui, nous ressentions cette impression quand une chose que nous tenions pour inanimée s’animait tout d’un coup. Par ces mouvements et ses attitudes, ce robot semblait appartenir à une catégorie qui n’était pas la sienne. »

Ce passage m’avait marqué lorsque je l’avais lu. Je pense que le Dr. Kaplan met ici en exergue le même sentiment que j’ai ressenti la première fois que j’ai pu contempler cette machine et c’est probablement également ce sentiment qui me poussa à faire l’acquisition de ce bijoux.
Je suis d’ailleurs convaincu que la grande majorité des possesseurs d’AIBO on tous été touchés par cette inquiétante étrangeté et que d’une manière ou d’une autre c’est l’une des clés qui permet de comprendre ce que le robot de loisir peut être.
J’ai donc embarqué le livre de Freud pour tenter de comprendre cette fameuse inquiétante étrangeté en me disant que finalement la bibliothèque de mon père regorge de trésors insoupçonnés.

lundi 18 février 2008

Do it yourself.

Si il y a un domaine qui échappe à l’égalité des sexes c’est bien le Bricolage…
Car oui ! Nous mâles consciencieux nous nous plions volontiers à l’exercice périlleux des petits fourneaux, tentant, avec toute l’honnêteté du monde, de comprendre ce langage, qui pourtant nous parait employer des mots familier mais qui se révèlent à l’usage totalement abscons dans la sémantique. Non mes dames, cuire un poisson à l’anglaise ou brider une volaille, n’a rien de compréhensible pour nous autres.

Puis sous votre férule nous enfilons les magnifiques gants roses et dans une concentration digne des meilleurs épisodes de James Bond nous cherchons à déchiffrer les étiquettes des produits ménagers pour savoir lequel employer dans telle ou telle circonstance. Effort toujours vain car dans un éclair de pitié vous venez toujours délicatement nous faire remarquer au passage qu’on est en train de récurer la gazinière avec du canard wc en utilisant le chiffon spéciale anti poussière...

Et que dire des courses au supermarché où la sournoiserie d’un caddie incontrôlable plein à raz bords, n’a d’égale que la lenteur de notre file à la caisse.

Après avoir appris plus de chose en une journée que dans toute notre vie nous voilà arrivés à l’instant où l’injustice de la vie va nous être révélée comme les Elohim révélèrent à Raël son exceptionnelle destinée.

Elle : Ce serait bien de monter l’étagère qu’on a achetés l’autre jour.
Lui : Ha bas ça va j’ai fais la cuisine, les course et le ménage aujourd’hui tu pourrais y mettre du tiens un peut.
Elle lève alors les yeux de ses ongles à moitié vernis et sans dire mot, réarrange la serviette délicatement enroulée dans ses cheveux pour ensuite vous asséner le coup de grâce, à voix base, presque en murmurant.
Elle : Non mais je te rappelle que c’est toi l’homme de la maison.

Inutile de vous dire que nous y seront tous confrontés et ne comptez même pas protester vous aurez tort avant même d’avoir parlé. Alors il ne nous reste plus qu’à nous entraîner, à apprendre à bricoler car c’est effectivement un domaine qui nous est exclusivement réservé.
En effet peut être que nous n’enfantons pas dans la douleur mais ça n’empêche pas que nous on s’éclate les doigts avec le marteau et on se vrille le poignet avec des tournevis dont l’ergonomie a été étudié pour toutes les mains de la terre sauf la notre, bizarrement.
C’est donc ce que j’ai fait aujourd’hui. Je suis dans la pleine force de l’âge donc si ce n’est pas maintenant que j’apprends à monter une étagère ce ne sera jamais. =)

Et autant vous dire que dans ce domaine nous avons intérêt à nous distinguer parce que des pâtes trop cuite elle vous le pardonnera volontiers mais une étagère qui se fait la malle quand on y pose une salière je doute qu’elle aura de la compassion pour votre inexpérience.

Tadam !! Et voilà une magnifique étagère ultra design pour accueillir mes expériences botanique, dors et déjà surnommé l’abattoir par mon frère, qui m’a toujours soutenu dans mes expérimentations avec des phrase d’encouragement du type : « La pire chose qui peut arriver à une plante c’est que tu t’en n’occupes pas….Ou que tu t’en occupes. »



dimanche 17 février 2008

La légende de je sais plus qui.

La légende de je sais plus qui…………O_O…………o_O………….Ha ! La légende de Padmâvatî ! Oula, cueilli un dimanche matin à froid j’ai bien passé cinq minutes à essayer de comprendre de quoi il était question…



Donc Padmâvatî est un Opéra-ballet en deux actes écrit par Albert Roussel qui a l’air d’un monsieur très sympathique puisqu’il a déclaré un jour : "Le culte des valeurs spirituelles est à la base de toute société qui se prétend civilisée, et la Musique, parmi les arts, en est l’expression la plus sensible et la plus élevée." Un homme selon mon cœur…*_*



Cet Opéra-ballet est présenté au théâtre du châtelet le mois prochain, mis en scène par un réalisateur de Bollywood, Sanjay Leela Bhansali, mondialement connu grâce à Devdas.

Dola Re Dola - Devdas



Un opéra-ballet à la mode Bollywood ?! Ha ! Il n’en fallait pas tant pour éveiller ma curiosité ! ^^ Il faut que j’aille voir ça !! Ho mais attend une minute et l’histoire dans tout ça ?



En ce qui concerne la légende de Padmâvatî, elle semble avoir conquis l’Inde entière puisqu’on trouve ses châteaux ou ses temples aussi bien au Rajasthan qu’à Bangalore au sud. Pour les uns, elle aurait été l’épouse d’un roi hindou au 14ème siècle, qui se serait sacrifiée plutôt que de se rendre à un conquérant musulman.
(source : shubhyatra)

Pour les autres, elle aurait été l’une des épouses de Vishnou, mais, en compétition avec la déesse MahaLakshmi, elles auraient toutes deux choisi de devenir des statues de pierre pour rester aux côtés de leur époux, l’une à sa droite, l’autre à sa gauche.
(source : legend of tirumala)

Mais alors laquelle de ces légendes est reprit dans cet opéra ??

Je n’en ai absolument aucune idée. =D Cela dit le site du théâtre du châtelet est particulièrement avare d’informations.

Mais je préfère laisser planer un brin de mystère là-dessus pour le plaisir, donc j’attends de voir ça pour en savoir plus.
Accompagné ou pas… Là par contre j’aimerais que le mystère se dissipe vite, très vite. Mais pour ça il faudrait qu’une certaine personne réponde à mon mailheuuuuuu… >_< scrogneugneu !! (mode pas content activé)

samedi 16 février 2008

Je vais faire des trucs à deux. suite...



Nous sommes enfin tombés d’accord sur un (des) morceau(x) à jouer. Après avoir longtemps tergiversé (et un peut glandé), j’ai enfin mis la main sur quelque chose de facile qui nous a mis sur la même longueur d’onde. Et bon sang après coup pourquoi n’y ai-je pas pensé plus tôt !!!





Voilà qui me consolera du report de la symphonie Lord Of The Ring au théâtre du châtelet. Je vais d’ailleurs revenir quelque peut la dessus car visiblement j’ai pas mal de requêtes gougeulienne à ce sujet.
Alors si toi aussi tu as découvert avec stupeur et tremblements que le théâtre du châtelet avait retiré ce magnifique spectacle de sa programmation en novembre dernier sans crier gare et surtout sans fournir la moindre explication sache que la raison de cette félonie est que Howard Shore a eu des pépins de santés.
Oui malheureusement ce vieux monsieur (62 ans) a fait un malaise lors d’une représentation je ne sais plus où donc son séjour en France a été annulé et la symphonie reportée à juillet-aout 2008.
Ce qui semble logique puisqu'à cette date est dors et déjà programmé "The Fly", l’adaptation du film éponyme de David Cronenberg en un opéra en deux actes, mis en scène par le cinéaste lui-même où Howard Shore a été chargé de la composition musisale !!!
Mouhahaha L’adaptation du film culte La mouche + la symphonie LOTR, je suis aux anges…^^

Petit message personnel au passage :
J’attends toujours la réponse d’un mail que j’ai envoyé à une certaine personne à propos de la légende indienne Padmâvatî. Il se reconnaîtra. (De toute manières c’est pas compliqué j’ai que deux lecteurs. ^^)

Donc pour revenir à nos moutons; on va commencer par Into The West de Howard Shore et Fran Walsh, interprété par Annie Lennox.

Into The West - Annie Lennox




Comme ça en plus, si un jour une charmante demoiselle ressent l’irrésistible envie de pousser la chansonnette et ben je pourrais toujours l’accompagner sur Into the West !! Mouhaha =D (en attendant d’apprendre le répertoire des Beatles hein ! ha si si si !)

Sinon au violoncelle ça rend vraiment bien en plus ça ne dérègle pas l’eau chaude!!

Into The West (version violoncelle)



D’un point de vue purement personnelle je laisse tomber Beethoven au profit de Chopin. Non pas que je n’aime pas les sourds mais j’ai besoin de changement et de facilité vu que je ne joue plus si souvent que ça en ce moment. Je commence mon exploration de Chopin par le prélude en ré bémol n°15 Op28, plus connu sous le nom de prélude de la goutte d’eau (raindrop).

J’ai déjà dans l’esprit et un peut dans les doigts aussi sa Nocturne n°9 Op2, mais chaque chose en son temps. Je sens que je vais bien m’entendre avec ce cher Frédéric !! =)

Prélude en ré bémol n°15 Op28 - Frédéric Chopin - Valentina Igoshina

jeudi 14 février 2008

Happy valentine's day

Tiens aujourd’hui c’est la saint valentin ! Je le rappel au cas où, si certain d’entre vous vivent dans des dimensions parallèles, on ne sait jamais on trouve de tout sur Internet.

Donc la Saint Valentin, fête de l’amour et de l’amitié !! Oui oui de l’amitié aussi, histoire que personne n’ait de bonnes excuses pour passer à côté.

Au début je voulais faire un copier coller de mon post d’hier, pour montrer que ce jour n’est pas pire qu’un autre pour moi, mais je me suis ravisé, car d’un, j’ai eu cours ce matin donc je n’ai pas glandé et deux je me suis dit que ce n’était pas que la fête de l’amour mais aussi de l’amitié.

Donc j’ai décidé de vous dédicacer ce post !! Car oui ! C’est le genre de chose que je ne sais pas faire, dire au gens à quel point ils comptent à mes yeux et à quel point je suis content qu’ils soient là. Je n’ai aucun talent pour ça vraiment et je dois dire, le faite qu’il faille un jour comme la saint valentin pour que je me décide à le faire ne manque pas de me rappeler que je suis un handicapé des sentiments. Mais il suffit ! Ce n’est pas de moi qu’il est question ici mais de vous.

" Je ne connais pas la moitié d’entre vous à moitié autant que je le voudrais ; et j’aime moins que la moitié d’entre vous à moitié aussi bien que vous le méritez. " Bilbon Saquet

J’aime quand vous me surprenez.

J’aime quand nos nuits blanches finissent à 3h du mat, tout le monde ivre mort.

J’aime me lever le Samedi matin pour aller faire du sport et finir par discuter trois plombes assis sur le gazon.

J’aime gagner (et perdre) des matchs avec vous. Savoir, qu’il y a dix mecs sur cette grille d’acier qui sont prêts à se donner pour que je cours, me rappelle qu’une cheville ce n’est pas si grave que ça.

J'aime les retour en bus où l'on test de nouveaux cocktail, quasi radioactif, à base de schnaps et d'énergie drink.

J’aime quand vous glissez des DTC et autres CMB dans les projets à la fac. Je me sens un peut moins geek.

J’aime l’Inde.

J'aime la chenille en caleçon sur le comptoir du shebeen.

J’aime quand on regarde IPfixe et Nounix discuter dans un langage sonore de robot et que vous finissez par me demander « Tu penses qu’ils s’engueulent ? ».

J’aime quand on erre au mall sans but et finir par acheter une veste juste parce que la vendeuse est mignonne.

J’aime les galeries d’art.

J’aime le violoncelle.

J’aime…pas la techtonik, faut pas pousser non plus hein !

J’aime l’œuvre de Damon Albarn et ses groupies.

J’ai encore une liste longue comme le bras mais pour résumer je vous aime comme vous êtes et ça je ne le dis pas assez.


Pour finir sur une note musicale, comme tout jour, je post une musique que j’ai entendu aujourd’hui à la radio et qui n’est pas du tout un message subliminal ou quel que chose dans le genre :p. Raaaalala, mon dieu ! Les époques changent mais pas la problématique. =)

mercredi 13 février 2008

Il y a des jours...




9h47 (à peu près) : Je me réveille.

9h48 : Eh merde.

9h49 : Je me rends compte que la vie n’a pas de sens et qu’il serait préférable que je me défenestre tout de suite.

9h50 : Fait trop froid, j’irais me pendre tout à l’heure.

9h55 : J’écoute de la musique.

11h00 : J’écoute toujours de la musique.

11h30 : Je me dis que c’est de la merde et qu’il serait temps que je petit déjeune.

11h40 : Je bois mon eau chaude à l’arrière goût de quelque chose (du thé).

11h41 : Ma vie me déprime.

11h42 : Si je mettais du cyanure à la place du sucre ?

12h00 : J’écoute de la musique.

12h50 : J’écoute toujours de la musique.

12h52 : Je me dis que c’est de la merde et que je vais faire un post.

12h53 : J’écris mon post.

12h54 : Je me dis que c’est vraiment de la merde et qu’il suffirait que j’ouvre la fenêtre pour épargner tout le monde de mes misérables conneries.

13h00 : J’en ai marre.

13h03 : Eh merde. A table.

14h00 : Au boulot, mon post attendra...

Stuck In A Moment You Can't Get Out Of - U2